vendredi 9 janvier 2015

COTE D'IVOIRE: Ma Lettre Ouverte au Ministre d'Etat Hamed BAKAYOKO

Monsieur TANOH NIAMKE Djohn
Diplomate, Laïc Consacré et Missionnaire Chrétien,
Président de l’ONG La Coreci
04 BP1514 ABIDJAN 04                                                               
Telephone: 56 12 50 40/06312823                                 
                                                        Abidjan, le 09 janvier 2015
Lettre Ouverte
                              A Son Excellence Monsieur  HAMED BAKAYOKO
Ministre d’Etat, Ministre de l’Intérieur et de la Sécurité
ABIDJAN
OBJET :
1- COTE D’IVOIRE, La guerre des francs maçons contre les Chrétiens doit rapidement cesser en ce mois de janvier 2015, sinon…
2- Demande de votre arbitrage en vue d’obliger, par toutes les voies de Droit, Mon ancien Employeur, le Conseil de l’Entente à me payer la somme de Cent quatre millions cent trente quatre mille quatre vingt quinze francs(104.134.095 FCFA) représentant mon pécule de départ, les cotisations patronales pour ma pension retraite, mes indemnités de départ pour fin de détachement, les pénalités de douze ans de retard de paiement, les réparations, les dédommagements des préjudices et humiliations subis.

Monsieur Le Ministre d’Etat,
Par la présente requête, j’ai l’honneur de solliciter votre arbitrage en vue de me rétablir dans mes droits pour le montant sus visé, dans l’affaire qui m’oppose à mon ancien Employeur, Le Fonds d’Entraide et de Garantie des Emprunts du Conseil de l’Entente, en abrégé, Le FEGECE/Conseil de l’Entente.
 De quoi s’agit-il dans cette affaire « TANOH NIAMKE Djohn contre le FEGECE/Conseil de l’Entente représenté par Messieurs Patrice KOUAME, ISSOUFFOU ISSA et René KPOMALEGNI, Respectivement, Secrétaire Exécutif du Conseil de l’Entente, Secrétaire Exécutif Adjoint du Conseil de l’Entente et Liquidateur du FEGECE/Conseil de l’Entente ? »
Premier argument :
Diplomate ivoirien, j’ai été détaché en qualité de Chargé de Mission, pour une période de cinq(05) années, au Fonds d’Entraide et de Garantie des Emprunts du Conseil de l’Entente (FEGECE/Conseil de l’Entente). Les conditions, la période et la durée de mon détachement sont précisées par l’arrêté ministériel dont copie est ci-jointe à la présente requête :
Début de mon détachement= Le 01 Janvier 1997
Fin de mon détachement= Le 06 Janvier 2002
Mon Salaire brut mensuel= 1.276 219 FCFA (Voir copie bulletin de salaire en pièce jointe).
Deuxième argument :
Pendant les cinq(05) années de mon détachement au FEGECE/Conseil de l’Entente, mon employeur dans sa comptabilité interne, a régulièrement et mensuellement, prélevé sur mes salaires une cotisation complémentaire de retraite appelée « Pécule de départ », à me reverser, et qui s’élevait, à la date du 06 janvier 2002, à un montant total de Cinq millions six cent neuf mille neuf cent quatre vingt neuf francs (5.604 989 FCFA) : Voir les pièces jointes.
Troisième argument :
·        Selon les dispositions de la Décision ministérielle de mon détachement au FEGECE/Conseil de l’Entente, et à la fin de cette période, mon ancien employeur aurait du me reverser, un montant de douze pour cent (12%) de contribution patronale pour ma pension de retraite, au cours des cinq années, soit une somme totale de neuf millions cent quatre vingt huit mille sept cent soixante seize francs (9.188 776 FCFA) :
·        Voici le calcul= 1.276 219 FCFA/mois à multiplier par 60 mois à multiplier par douze. Et le total à diviser par 100. Ce qui donne bien un montant total de 9.188 776 FCFA de part patronale de cinq années, pour ma pension de retraite que mon ex-employeur le FEGECE/Conseil de l’Entente aurait du me payer depuis la date du 06 Janvier 2002.
Quatrième argument :
Il est établi par coutume, par usage et par droit qu’une indemnité forfaitaire, de deux mois de salaire par année d’ancienneté, à multiplier par mes cinq années de détachement, aurait du m’être payé, à la date du 06 Janvier 2002, par mon Ex-Employeur, soit un montant total de douze millions sept cent soixante deux mille cent quatre vingt dix francs (12.762 190 FCFA).
Cinquième argument et Conclusion partielle :
Monsieur Le Ministre d’Etat,
 Il est important de noter que les trois chapitres soulignés et les montants ci-dessus, donnent bien une somme totale de vingt sept millions cinq cent soixante mille neuf cent cinquante cinq francs (27.560.955 FCFA) qui aurait du m’être payé par mon Ex-Employeur, le FEGECE/Conseil de l’Entente, à la date du 06 Janvier 2002.
Sixième argument :
Monsieur Le Ministre d’Etat,
Il est également urgent et important, de noter et de relever que l’Administration Publique Nationale ou Internationale, étant une Continuité, mes droits ci-dessus calculés, énumérés et évoqués d’un montant total de vingt sept millions cinq cent soixante mille neuf cent cinquante cinq francs (27.560 955 FCFA), qui aurait du être payé le 06 Janvier 2002 sans aucun intérêt, ce montant-là dis-je, doit m’être intégralement payé, au cours de cette année 2015, avec des intérêts bancaires, des pénalités et autres sanctions pour retard de paiement sur une période de douze années, de préjudices, de dommages et de torts qui m’ont été causés, en plus des humiliations et des privations qui m’ont été imposées par faute de paiement de mes droits ci-dessus.

Septième argument :
Depuis le 12 Octobre 2012 et par lettre écrite et déchargée au Conseil de l’Entente, J’ai régulièrement introduit des demandes de remboursements et de paiements de mes cotisations, de mes droits et de mes indemnités de fin de détachement.
Il est à noter que c’est par un silence total, orgueilleux, haineux et méprisant que les nouvelles Autorités du Conseil de l’Entente, ci-dessus nommées, me font subir !
Huitième argument :
En Janvier 2013, J’ai relancé mon dossier de demande urgente de paiement de mes Droits ci-dessus, par deux visites au Siège du Conseil de l’Entente, mon Ex-Employeur, ou j’ai été, à deux reprises, bien reçu par le Comptable de ladite Institution, Monsieur DANGNI Constant qui m’a rassuré que « Je serai payé dès que possible ».
Neuvième argument :
Enfin en Janvier 2014, Monsieur DANGNI Constant, le Comptable du Conseil de l’Entente, m’informe que mon chèque de paiement de mes Droits est signé et disponible mais qu’il fallait que j’attende, quelques jours, le retour de Missions de ses Supérieures hiérarchiques que sont Messieurs Patrice KOUAME et ISSOUFOU ISSA, pour venir récupérer mes Droits en leurs présences.
Dixième argument :
Sans jamais m’avoir payé et  remis mes Droits, Monsieur DANGNI Constant, le Comptable du Conseil de l’Entente, meurt de manière brutale, brusque et bizarre, après seulement m’avoir informé de l’existence des chèques qui devraient m’être remis incessamment et ultérieurement par ses supérieurs hiérarchiques.
Cette mort douteuse continue encore, aujourd’hui, de hanter les esprits au Conseil de l’Entente !
Est-ce une mort naturelle ?
Est-ce un arrêt cardiaque ?
Est-ce un empoisonnement ?
Onzième argument :
Après cette mort atroce, douloureuse et douteuse de Monsieur DANGNI Constant, Le Comptable du Conseil de L’Entente, en lieu et place de me payer mes cotisations, indemnités, pensions et autres Droits, Messieurs Patrice KOUAME, ISSOUFOU ISSA et René KPOMALEGNI, respectivement, Secrétaire Exécutif du Conseil de l’Entente, Secrétaire Exécutif Adjoint et Liquidateur du FEGECE/FEGECE, ces trois Messieurs dis-je, se sont accordés pour inventer une fausse version de cette affaire, en invitant des dettes et en manipulant les chiffres de la Comptabilité du Conseil de l’Entente en ma défaveur !
Douzième argument et Conclusion :
Après douze ans d’attente, d’humiliation et de privations :
En cette année 2015 et après la mort tragique de Monsieur DANGNI Constant, Comptable du Conseil de l’Entente, les nouvelles Autorités refusent de me payer mes Droits de 27.560 955 CFA.
Monsieur Le Ministre d’Etat,
En plus du montant ci-dessus, je demande au Conseil de l’Entente de me payer des pénalités de douze années de retards de paiements, des réparations de divers dommages et divers préjudices subis, qu’il vous plaira da qualifier et d’estimer à soixante(60) mois de mon salaire, soit une somme de soixante seize millions cinq cent soixante treize mille cent quarante francs (76.573 140 FCFA) :
1.276 219 FCFA/mois à multiplier par 60 mois= 76.573 140 FCFA.

En conclusion :                                                                
 Monsieur Le Ministre d’Etat,                    
J’ai urgemment sollicité votre arbitrage pour que cette guerre féroce de certains francs maçons contre des chrétiens ivoiriens, depuis longtemps, prenne rapidement fin, en ce début d’année 2015…
Excellence Monsieur le Ministre d’Etat,
En ce début d’année électorale en COTE D’IVOIRE, tous les problèmes doivent véritablement être exposés, avec audace et courage, pour que des solutions rapides et urgentes soient trouvées.
En effet et en ce qui me concerne : Après douze années de calvaires, de privations,  de honte et d’humiliations, je demande votre arbitrage afin que le Conseil de l’Entente me paye la somme de Cent quatre millions cent trente quatre mille quatre vingt quinze francs(104.134.095 FCFA) représentant mon pécule de départ, les cotisations patronales pour ma pension retraite, mes indemnités de départ pour fin de détachement, les pénalités de douze ans de retard de paiement, les réparations, les dédommagements des préjudices et humiliations subis.
Par la présente, je sollicite également une audience.
Très Haute Considération.
TANOH NIAMKE Djohn
Diplomate, Ecrivain,
Président de l’ONG Chrétienne La Coreci
Téléphone : 06312823/56125040